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Par J.B. le 10 Juillet 2018 à 07:00
Paris-VIII-Saint-Denis
2, rue de la Liberté
(ou rue Guynemer, face au métro)
93526 SAINT-DENIS cedex
tél. : 01 49 40 67 89
UFR Droit
http://www.ufr-droit.univ-paris8.fr/
I. De la « Fac’ de Vincennes »…
Suite aux événements de mai 1968, l’Université de Paris VIII-Saint-Denis a été créée, en 1971, sous le nom de « Centre universitaire expérimental de Vincennes ». Elle s’installa dans de nouveaux bâtiments construits pour l’accueillir dans le Bois de Vincennes, à environ 300 mètres du château de Vincennes et des stations du métro et du RER.
Le Bois de Vincennes est resté célèbre par le récit que Jean de Joinville (1224-1317), a fait de Saint Louis rendant la justice sous l’un de ses chênes. Saint Louis (Louis IX dans les curieux programmes d’histoire de nos écoles primaires laïques), qui fut l’ancêtre de la Cité universitaire en édifiant la maison des escholiers de Paris, écrivit dans son testament : « Pour rendre la justice et faire droit à tes sujets, sois loyal et roide, sans tourner à droite ni à gauche, mais toujours du côté droit et soutiens la plainte du pauvre jusques à temps que la vérité soit déclarée ».
Plus de sept siècles plus tard, le « Centre universitaire expérimental de Vincennes », honora par ricochet ce « Roi de Justice », en dispensant des enseignements de droit dans le même bois (premiers directeurs du département de droit de la fac’ de Vincennes : Pierre Desmottes 1969-1978 ; Louis Germain 1978-1980).
Bois de Vincennes. Plan (circa 1862)
1 Bois de Vincennes. Le Rond Point de la Porte Jaune
2 Bois de Vincennes. Les Pelouses
3 Bois de Vincennes. Le Lac Daumesnil
4 Bois de Vincennes. Les Bords du Lac Daumesnil
5 Bois de Vincennes. Le lac et le Passeur
6 Bois de Vincennes. Lac des Minimes
II… à l’Université de « Vincennes-à-Saint-Denis ».
Quasiment expulsée du Bois de Vincennes, l’Université Paris VIII trouva refuge, en 1980, à la périphérie de la ville de Saint-Denis dans les locaux désaffectés d’un IUT, sous le nom d’« Université Paris 8 Vincennes à Saint Denis », toujours en vigueur.
Son département de droit fut rattaché, avec ceux de Sciences Politiques et d’A.E.S, à l’UFR « Pouvoir, Administration, Echanges » (PAE), qui deviendra, dans les années 2010, l’UFR « Droit », suite aux départs mouvementés des départements de Sciences Politiques et d’A.E.S vers d’autres U.F.R.
1 Plan du terroir de Saint-Denis en France sur la carte de Cassini (encadré en jaune)
1 bis. Plan de la banlieue Nord de Paris (vers 1850)
2 Saint-Denis. Panorama pris de l'Eglise Neuvelan
3 Saint-Denis. L'abbaye
4 Saint-Denis. Boulevard de Châteaudun
5 Saint-Denis. La Rue du Chemin de Fer
6 Saint-Denis. La Salle des Fêtes
7. Saint-Denis. Le Fort de La Biche
Saint-Denis Saint-Denis Saint-Denis Saint-Denis
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Par J.B. le 21 Juillet 2018 à 07:00
Paris-IX-Dauphine (PSL)
Licence et Master Droit
Pl. du Maréchal de Lattre de Tassigny
75775 PARIS cedex 16
tél. : 01 44 05 44 05
Site du Master Droit :
http://www.dauphine.fr/fr/formations-et-diplomes/masters/droit.html
1. Carte du Bois de Boulogne entre 1905 et 1921
J'ai surligné en jaune, en haut à droite de ce vieux plan, l'avenue du Bois de Boulogne (actuelle avenue Foch) qui donne sur la Porte Dauphine, à l'entrée du Bois de Boulogne.
C'est au niveau de la porte Dauphine que se situe la place du Maréchal Delattre de Tassigny, siège de l'université Paris IX Dauphine.
2. Avenue du Bois de Boulogne. Porte Dauphine (1)
L'avenue du Bois de Boulogne, qui va de l'Arc de Triomphe à la porte Dauphine, est aujourd'hui rebaptisée avenue du Maréchal Ferdinand Foch, plus connue sous le nom d'avenue Foch.
3. Avenue du Bois de Boulogne. Porte Dauphine (2)
4. Le Bois de Boulogne. Allée des Acacias
5. Le Bois de Boulogne. Entre les deux lacs
6. Le lac du Bois de Boulogne (1)
7. Le lac du Bois de Boulogne (2)
8. Le lac du Bois de Boulogne (3)
9. Le Bois de Boulogne. La Cascade
10. LeBois de Boulogne. Etang de Saint-James
Paris-IX-Dauphine-Paris-IX-Dauphine
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Par J.B. le 3 Août 2018 à 07:00
Université Paris-X-Nanterre
(1964 : Université Paris X-Nanterre ; 2008 : Université Paris Ouest Nanterre La Défense ; 2016 : Université Paris Nanterre).
200, avenue de la République 92001 Nanterre cedex
tél. : 01 40 97 72 00
UFR Droit et Science Politique (DSP)
Tél. : 01 40 97 77 59
https://ufr-dsp.parisnanterre.fr/
1. Quartiers historiques de Nanterre
La Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Nanterre a ouvert ses portes à la rentrée 1966, avec une annexe de la Faculté de Droit et de Sciences Economiques de l’Université de la Sorbonne, qui deviendra, plus tard, une UFR à part entière de la nouvelle université Paris X-Nanterre (aujourd’hui UFR Droit et Science Politique).
L’Université a été construite, dans la première ceinture de la proche banlieue de Paris, dans un quartier de Nanterre dit de « La Folie », sur un terrain d’une quinzaine d’hectares, s’étendant de la ligne de chemin de fer Paris/Saint-Germain-en-Laye à l’avenue de la République, et de la ligne Paris/Rouen à la rue des Grands-Buissons.
Ce terrain était occupé, depuis 1916, par un camp d’aviation militaire, plus connu sous le nom de « Camp de la Folie », au numéro 2 de la rue de Rouen.
Jusqu’en 1971, on se rendait à l’université de Nanterre par la ligne de banlieue Saint-Lazare/Saint-Germain-en-Laye, en s’arrêtant à la station « Nanterre La Folie. Complexe universitaire » (aujourd’hui « Nanterre Université » [SNCF et RER]).
2. Nanterre. Le Pont de la Folie et le château du Radis-Creux
De l’origine de « La Folie ». Avant la Première Guerre Mondiale, ces terres dites du « hameau de La Folie », qui étaient impropres à la culture, ont connu deux vocations.
D’une part, l’exploitation d’anciennes carrières souterraines dont était extrait le moellon, une pierre blanche à bâtir. Dans les années 1900, la dernière carrière en activité (la carrière Pascal) s’étendait encore sur plus de quinze hectares. Puis elle fut louée à des champignonnistes pour la culture des champignons de Paris.
D’autre part, l’édification, depuis le XVIIème siècle, par des nobles et des riches bourgeois de Paris, de quelques demeures luxueuses dont il ne reste guère de traces, hormis les ruines du château du Radis-Creux (parfois écrit château de Radis-Creux) visibles sur cette carte postale du quartier de la Folie des années 1900.
Le pont de la Folie a été intégré, en 1916, au terrain du camp d’aviation militaire de La Folie, sur lequel est édifié, aujourd’hui, l’Université de Paris X-Nanterre.
Les termes « La Folie » sont mentionnés depuis le XVIIème siècle dans divers manuscrits. Ils y désignent un vaste terrain de Nanterre sur lequel étaient édifiées de riches demeures (« Le mot folie a désigné [1690] une riche maison de plaisance ; le rattachement à folie a été justifié par l’idée de dépense extravagante liée à ces construction ». Le Robert. Dictionnaire historique de la langue française).
Le mot « folie » a encore été utilisé pour désigner le bidonville établi, depuis 1953, à l’Est de Nanterre non loin de Courbevoie, sur un autre terrain d’une vingtaine d’hectares. Cet « îlot de La Folie » a disparu en 1971-1972.
3. Nanterre. Le Pont de la Folie (en couleur)
Tout ceci explique qu’il n’existe guère de cartes postales anciennes colorisées de l’ancien hameau de « La Folie » sur lequel est aujourd’hui bâtie l’Université de Paris X-Nanterre.
La seule photographie en couleur (et non colorisée) que j’ai pu retrouver est celle, ci-dessus reproduite, qui porte la mention « Nanterre-La Folie ». Elle représente le pont de La Folie surmonté d’un bâtiment bien désagréable à voir.
Je présenterai dans la rubrique des « Facultés de Droit d’Île de France » de nombreuses photographies des travaux de construction, d’une part, du camp militaire de la Folie dans les années 1916, d’autre part, de l’Université de Nanterre, dans les années 1964-1966.
En attendant, par fidélité à la rubrique « Annuaire des Facultés de Droit » de ce blog, que j’illustre de cartes postales anciennes colorisées par d’habiles « petites mains » à la Belle Epoque, je vous propose une ballade dans le Nanterre oublié des années 1900.
Ces vues sont étonnantes pour ceux qui connaissent bien la ville de Nanterre (pour moi : dix ans comme étudiant et quinze ans comme enseignant-chercheur; vingt ans comme résident d’une commune limitrophe !). En les découvrant, j’ai eu l’impression d’être plongé dans un roman de Stephan King : une ville pleine de charme, imaginée ou disparue !
4. Nanterre. Route de Paris (aujourd’hui, avenue Georges Clemenceau).
5. Nanterre. Avenue Henri-Martin
6. Nanterre. Place de La Boule et Rue du Mont-Valérien
7. Nanterre. Route de Cherbourg (aujourd’hui, avenue du Maréchal Joffre).
8. Nanterre. Place du Martray (aujourd’hui Place Gabriel-Peri).
9. Nanterre. L’ancienne Mairie
10. Nanterre. Cour d’Honneur de la Maison Départementale
Pour tout savoir sur la Maison Départementale de Nanterre dont l’ouverture remonte au 1er juin 1887, avenue de la République, je vous invite à lire et/ou télécharger gratuitement sur le site Gallica de la Bibliothèque nationale de France, cette étude publiée, en 1900, par Victor Moulinet, inspecteur de cet établissement.
Victor Moulinet. La Maison Départementale de Nanterre
1 1. Nanterre. Le Pont des Anglais
Aujourd’hui, le pont des Anglais est le viaduc ferroviaire de Bezons qui franchit la Seine en prenant appui sur l’Île Saint-Martin, ancienne Île Fleurie, et relie, sur la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre, les villes de Nanterre et de Bezons.
12. Nanterre. L’Île Fleurie (aussi appelée Île de la Morue ou Île Saint-Martin)
13. Nanterre. Moulin et Château des Gibets
Pour tout savoir sur le Moulin des Gibets et la propriété attenante, voici, en fichier PDF, l’excellente étude de Jeannine Cornaille de la Société d’Histoire de Nanterre.
14.http://histoire-nanterre.org/wp-content/uploads/2014/03/NI_SHN386.pdf
Nanterre- Nanterre- Nanterre- Nanterre-Nanterre-Nanterre
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Par J.B. le 14 Août 2018 à 07:00
Paris-XI-Sud (Faculté de Droit Jean Monnet)
Faculté de Droit, Economie, Gestion
54, bd Desgranges
92331 SCEAUX cedex
tél. : 01 40 91 17 00
1 Sceaux. La ligne de chemin de fer ouverte en 1846
À la la Belle Epoque, Sceaux était une ligne de chemin de fer de la banlieue sud de Paris, qui reliait initialement la place Denfert-Rochereau à la commune de Sceaux. En 1895, elle fut prolongée au Nord dans Paris jusqu’à la gare du Luxembourg.
Ceux qui empruntaient cette ligne et descendaient à la gare de la ville de Sceaux pouvaient découvrir le château édifié, de 1856 à 1858, par l’épouse du second duc de Trévisse, à l’emplacement même d’un ancien château, construit, au début du XVIIème siècle, par les Potier de Gesvres, seigneurs de Sceaux. Cet ancien château avait été restauré pour Colbert, puis détruit sous la Révolution.
Les visiteurs pouvaient se promener dans le grand parc du château, dessiné par André le Nôtre à la fin du XVIème siècle pour Colbert, et ouvert au public en 1905.
Ils pouvaient encore admirer, à travers les grilles d’entrée, les bâtiments et jardins du lycée Lakanal, un modèle d’architecture scolaire construit par Anatole de Baudot, à la demande de Jules Ferry, ministre de l’Instruction publique de 1879 à 1883.
2. Paris. La Gare de Sceaux, place Denfert-Rochereau, à l’époque où elle était le terminus de la ligne.
En 1977, la ligne de chemin de fer de Sceaux a été intégrée au réseau express régional (RER). Elle constitue aujourd’hui les deux branches sud de la ligne B : la branche B2 jusqu’à Robinson, la branche 4 jusqu’à Saint-Rémy-lès-Chevreuse.
3. Sceaux. La rue de Fontenay
4. Sceaux. La rue Houdan
5. Sceaux. Le Château. Façade principale
6. Sceaux. Le Château. Vue prise des Quinconces
7. Sceaux. Le parc du Château. Le Bassin des quatre Statues.
8. Sceaux. Le parc du Château. Statue d'Amalte
9. Sceaux. Le Lycée Lakanal. Pavillon de l'Administration
10. Sceaux. Le Lycée Lakanal. Un coin du Parc
Sceaux- Sceaux- Sceaux- Sceaux- Sceaux-Sceaux-Sceaux
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Par J.B. le 21 Août 2018 à 07:00
Université Paris-XII-Est-Créteil
Faculté de Droit
83-89, av. du Général de Gaulle
94010 CRÉTEIL cedex
tél. : 01 56 72 60 00
1. Plan du terroir de Créteil à une heure à cheval de Paris
Créteil (du nom cristoïlum : la clairière sur la crête) est l’un des plus anciens villages de France dont l’histoire commence à l’époque préhistorique.
Au Moyen-Âge, Créteil fut le siège de seigneuries ecclésiastiques, et aux XVIIème et XVIIIème siècles, celui de la Prévôté du Greffe et du Tabellionage.
Sous le Second Empire (1852-1870), les charmes de la rivière de Marne bordant Créteil, et du Bras du Chapitre sur cette même rivière furent salués par de grands écrivains et artistes (Victor-Hugo, Cézanne, Charles Ransonnette…).
Mais la guerre franco-prussienne éclata le 19 juillet 1870. Les Prussiens occupèrent alors le village de Créteil et le laissèrent en ruine.
Depuis, au fil des décennies, les anciens vignobles ont laissé place à des lotissements, à de nouveaux quartiers (les Bleuets, les Emouleuses, la cité du Mont-Mesly, le Fief, la ZUP du Nouveau Créteil), et à de nombreux bâtiments et équipements publics (hôpital Henri Mondor, préfecture, hôtel de ville, palais de justice, université, base de loisirs…).
Je vous invite à une balade dans le Créteil des années 1900, à travers quelques photographies anciennes, en noir et blanc, magnifiquement colorisées à la main, une par une, par de jeunes femmes beaucoup plus habiles que les hommes dans cet art aujourd’hui oublié (et quasiment interdit de droit de cité dans nos collections publiques !).
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le Créteil de cette époque, voici un lien qui vous permettra de lire et télécharger une excellente étude avec des images, publiée dans le carnet de voyages cristoliens, n° 6, à l'occasion du centenaire de l'Abbaye de Créteil (Carnet de voyages cristoliens, n° 6).
2. Créteil. Les Pâturages
« Créteil, en 1900, avait 4255 habitants. C’était un village. C’était mon village. Au centre, bien sûr, la place de l’Eglise. (…) Tout proches, les premiers champs de blé. Les vignes poussaient à l’endroit où se trouve maintenant l’hôpital intercommunal. La rue des Mèches était bordée de fermes. On cultivait encore la vigne sur le Mont de Mesly. Au fond de la cour, au n°2 Grande-Rue, il y avait le four et le pressoir communaux. (…) Il n’y avait qu’une école pour les enfants de moins de 13 ans : quatre classes pour les garçons, trois pour les filles. Pour poursuivre ses études, il fallait aller à Paris…. »
«… La vie à Créteil commençait tôt. A 7h30, on entendait les sirènes de la ferblanterie Vappereau et de l’orfèvrerie Boulenger. C’étaient les deux seules usines de la ville. Les deux bourreliers-selliers et les trois maréchaux-ferrants avaient déjà ouvert boutique. Ils avaient de quoi faire : il y avait en 1901, 304 chevaux à Créteil. » (André Dreux, souvenirs d’enfance dans le France-Soir du 6 janvier 1967).
3. Créteil. Station des Tramways
« Place de l’Eglise, à l’angle de la rue de Saint-Maur, aujourd’hui avenue de Verdun, stationnait l’omnibus à deux chevaux qui assurait la correspondance avec le chemin de fer de Vincennes. En 1902, cet omnibus fut remplacé par des tramways. Il y en avait un qu’on appelait la bouillotte, c’était un tramway à vapeur, (…) mais ça revenait trop cher. Je prenais deux tramways électriques. » (André Dreux, souvenirs d’enfance dans le France-Soir du 6 janvier 1967).
4.. Créteil. Rue Saint-Maur
5. Créteil. La Grande-Rue (aujourd’hui Rue du Maréchal Leclerc)
6. Créteil. L'Eglise Saint-Christophe construite aux XII° et XIII° siècles
7. Créteil. La Rue du Vieux Moulin
8. Créteil. Le Port
9. Créteil. Bords de Marne. Le Pont-Suspendu ou Passerelle
Au XIXème siècle, les bords de Marne de Créteil devinrent un lieu de loisirs, de promenade et de baignade pour les parisiens. Ils y accédaient par le bateau-mouche Charenton-Hôtel de Ville, dit le bateau parisien, ou par chemin de fer (ligne de Paris Bastille-La Varenne ouverte en 1859).
10. Créteil. Le Pont de l'Île Sainte-Catherine
11. Créteil. Sur le Bras du Chapitre. Entrée du Pont Sainte-Catherine
12. Créteil. Bras du Chapitre au Cochon de Lait
13.Créteil. Auberge du Sergent Bobillot
14. Créteil. L'Arbre Penché au Bras du Chapitre
Créteil-Créteil-Créteil-Créteil-Créteil-Créteil-Créteil
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