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1 Les premiers jours du bébé de Pâques (Dessin de Poulbot, dans le journal Le Rire du 16 avril 1906. Source : gallica.bnf.fr.).
- Maman l’a trouvé dans un œuf de Pâques…
- Il est rien moche !
2 Un an déjà, comme le temps passe… !
Pâque ou Pâques (on met toujours une majuscule), est une fête annuelle en l'honneur de la résurrection de Jésus-Christ, célébrée par les chrétiens le premier dimanche après la pleine lune qui suit l'équinoxe du printemps.
3 Sept ans, maintenant je suis un grand (ou une grande)… !
Donner à quelqu'un ses œufs de Pâques, c’est lui faire quelque présent à Pâques.
« Ô mes anges, daignez recevoir pour vos œufs de Pâques ce Droit du seigneur » (Voltaire, Lett. d'Argental. 10 avr. 1762).
4 Dix ans… c’est super bien… !
Que vous choisissiez œuf ou fleur
Vous connaîtrez le vrai bonheur.
5 Seize, dix-sept ans, les âges des premiers amours… !
L’Œuf de Pâques est un emblème
Il signifie « Mon cœur vous aime ».
6 A force de parler d'amour, on devient amoureux (Pascal., Amour).
Oui c’est pour ma Mie
Que je veux des œufs
Et j’ai voué ma vie
À ses jolis yeux
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Heureuses est ta Mie
Homme valeureux
De te rendre heureux
À Pâques fleurie.
8
Pâques est le moment
Pour les amoureux
D’envoyer leurs vœux
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Ta Mie est heureuse
D’être aimée par Toi.
Mais j’en suis envieuse
Et triste à la fois.
10 Il se maria à vingt-trois ans, et, quoique amoureux, il fit un bon mariage (Fonten., Malézieux).
Ne soit pas envieuse
Mais reçoit ma foi ;
Je te voudrais rieuse
Car ma mie c’est Toi.
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1 SIMPLE AVEU : « Je me demande si véritablement il n’y a pas quelque chose de gangréné dans notre organisation judiciaire »* (Le Rire, 26 mars 1910. Dessin de L. M. *Déclaration d’Aristide Briand, Garde des sceaux, ministre de la Justice et des Cultes).
« Ne crains pas la justice, mais crains le juge » (proverbe russe). Dans la série des arrêts Con…temporains les plus dé…Con…certants, après celui de la Cour de cassation, du 26 février 2020, qui a Con…sidéré que le principe d’égalité des citoyens devant la loi et la justice devait connaître une exception pour garantir la liberté d’expression des Femens politiques de gauche (voir sur ce blog : Liberté d'expression politique et exhibition sexuelle), voici trois arrêts de la Cour d’appel de Paris, en date du 19 décembre 2019, qui viennent Con…firmer les jugements du tribunal de grande instance de Paris du 31 janvier 2019, et Con... currencer la trilogie marseillaise de Marcel Pagnol (Marius, Fanny et César).
Ces arrêts, qui Con… cernent la célèbre affaire dite du « Mur des cons », nous rappellent opportunément que le mot en trois lettres « Con », familier pour les uns, grossier pour les autres, est en usage non seulement en Occitanie en lieu et place du point virgule, et dans toutes les cours de récréation, mais aussi dans les cours de justice.
2 De l’inauguration du « Mur des cons » au Syndicat de la Magistrature
On se souvient que les photographies de plusieurs dizaines de personnalités de droite avaient été affichées sur le « Mur des cons » des locaux privés du Syndicat national de la Magistrature, avec diverses mentions dont celle-ci : “avant d’ajouter un con, vérifiez qu’il n’y est pas déjà”.
Un journaliste, invité pour interviewer une magistrate présidente de ce Syndicat, avait discrètement filmé avec son smartphone ce « Mur des cons », et sa vidéo avait été publiée, en avril 2013, sur le site d’information Atlantico (les photographies de ce mur sont librement accessibles en ligne, par exemple sur Google Images).
3 De l’Honneur de la Magistrature debout* (Le Rire, 19 juillet 1904. dessin de G. Jeanniot**).
Le Conseil supérieur de la magistrature, aussitôt saisi par la ministre de la Justice, Christine Taubira, interpellée sur ce sujet à l'Assemblée Nationale, avait refusé de se prononcer, estimant qu’il lui était impossible de « déterminer des responsabilités personnelles » et en conséquence de demander des sanctions.
Quant au parquet de Paris, il avait requis, en 2015, un non lieu pour la présidente du Syndicat de la Magistrature, qui avait été renvoyée par un juge d’instruction (et la Chambre d’Instruction) devant le tribunal correctionnel pour des faits d’injure publique, en qualité d’éditrice de cet assemblage de photos. Sans doute cette décision n’était-elle pas étrangère au fait que le Syndicat de la Magistrature, ancré à gauche, avait recueilli plus de 25% des voix des magistrats aux élections professionnelles (juin 2013) et que la France était alors sous un régime politique de gauche.
* Les membres du parquet, procureurs et substituts, qui se lèvent et se tiennent donc debout sur le parquet de la salle d’audience lors de leurs réquisitions sont surnommés, pour cette raison, « magistrats du parquet », alors que les juges qui eux restent toujours assis lors des audiences sont dits « magistrats du siège ». Quant aux « magistrats couchés », ils désignent, par moquerie, les procureurs ou juges qui, pour plaire au pouvoir politique en place, maître de leurs promotions et mutations dans les tribunaux et villes les plus agréables, prennent les décisions souhaitées par celui-ci (poursuites, non lieux, condamnations, relaxes…).
** En l’année 1904, sous le bloc des gauches, les affaires judiciaires, susceptibles d’avoir inspiré l’auteur de ce dessin étaient légions : dernières phases judiciaires de l’affaire Dreyfus ; l’affaire Danval ; découverte par le Parquet d’un complot royaliste tramé contre Emile Loubet et la République, etc…
4 Anne-Lorraine. Un dimanche dans le RER D, par Emmanuelle Decourt et Frédéric Pons (éditions CLD, 21 novembre 2008).
« La méchanceté des méchants ». Nos magistrats assis ou debout, apprentis humoristes, n’avaient pas hésité à coller sur leur « mur de la honte » la photographie du général S., qui avait osé critiquer la justice après le meurtre, le 25 novembre 2007, de sa fille, Anne-Lorraine, une étudiante âgée de 23 ans, dans le RER D, atteinte de 34 coups de couteau portés par un récidiviste après une tentative de viol. Celui-ci, Thierry Devé-Oglou, avait été précédemment libéré après seulement une année de prison alors même qu’il avait été condamné à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, pour un viol qu’il avait commis sur une jeune fille de 26 ans, dans le même RER D, sous la menace d’un couteau, le 25 janvier 1995.
5 Le billet de 500 euros qu’on ne voit jamais et qu’on peut conserver en cas de condamnation avec sursis.
« Comprenne qui voudra » (Paul Eluard). Toujours est-il que le montant de la réparation allouée, le 19 décembre 2019, par les magistrats de la Cour d’appel de Paris à la victime de leur collègue, n’a pas fait rire grand monde (Aucune mention de ces arrêts sur le site du Syndicat de la Magistrature, au 11 avril 2020. En revanche, un excellent commentaire des questions de droit posées par ces arrêts sur le site Dalloz actualité sous ce lien: Affaire du " Mur des Cons ", condamnation pour injure publique confirmée en appel). Car en effet la prévenue, poursuivie, en sa qualité de représentante du Syndicat de la Magistrature, pour injure publique envers un particulier s'est vue confirmer les deux peines bien légères qui avaient été prononcées par le tribunal de grande instance de Paris, le 31 janvier 2019: l’une sur le terrain de l’action publique : 500 euros d’amende avec sursis (cela signifie qu’elle ne devra pas payer cette amende), l’autre sur le terrain de l’action civile : 5 000 euros de dommages-intérêts en réparation du préjudice moral de la victime. Toutefois, cette sentence n'est pas définitive car les trois arrêts de la Cour d'appel de Paris ont fait l'objet d'un pourvoi en cassation.
Le Con…finement : une période propice pour lire les trois arrêts de la Cour d’appel de Paris (Pôle 2. Chambre 7), en date du 19 décembre 2019, dans l'affaire du "Mur des cons" :
Dossier/Arrêt n° 19/01374
Dossier/Arrêt n° 19/01382
Dossier n° 19/01410. Arrêt n° 489/2019
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1 « Ha ! Que ne suis-je abeille ou papillon ! » (Ronsard. Amours de Marie)
« Poursuivant mon œuvre, je vais chanter le miel aérien, présent céleste. Je t’offrirai, à partir de tous petits êtres, un spectacle admirable. Quand le soleil d’or a mis l’hiver en fuite, et l’a relégué sous la terre, quand le ciel s’est rouvert à l’été lumineux, aussitôt les abeilles parcourent les fourrés et les bois, butinent les fleurs vermeilles et effleurent, légères, la surface des cours d’eau. Transportées alors par je ne sais quelle douceur de vivre, elles choient leurs couvées et leur nid, et façonnent avec art la cire nouvelle et composent le miel »
(Virgile. Les Géorgiques).
2 Vers le Pavillon Davioud, le Verger et le Rucher du Jardin du Luxembourg
Dans le jardin du Luxembourg, à l’angle des rues Guynemer et d’Assas, près du pavillon Davioud, on découvre des ruches pleines d’abeilles qui butinent les fleurs du jardin, ainsi qu’une fontaine destinée à les rafraîchir.
Vous trouverez de très belles photographies en couleur de ce lieu enchanteur sur deux sites :
D’une part, celui de la Société Centrale d’Apiculture :
- Accueil → les ruchers → Rucher du jardin du Luxembourg
D’autre part, celui intitulé « Ma plume fée dans Paris » :
Quant à moi, faute d’habileté photographique et par fidélité à la thématique de ce blog, je me contenterai de présenter des images et cartes postales anciennes (icpa) trouvées de ci de là notamment sur le site précité de la Société Centrale d’Apiculture, complétées de citations de divers auteurs.
« Alors il comprit que l’homme s’était éloigné petit à petit un peu plus du paradis. Et il se prit à rêver de devenir une abeille » (Maxence Fermine. L’apiculteur).
3 Le premier rucher expérimental du Jardin du Luxembourg (source : site de la S.C.A.)
C’est en 1856 qu’Henri Hamet, un passionné d’apiculture qui avait fondé, deux ans auparavant, la Société Centrale d’Apiculture (S.C.A.), obtint du général marquis d’Hautpoul, grand référendaire du Sénat, une concession pour installer « le rucher-école de la pépinière du jardin du Luxembourg ».
« Il y a bien longtemps vivait un vieil homme que l’on appelait l’homme aux abeilles, parce qu’il passait tout son temps avec les abeilles. Il habitait une cabane qui était comme une très grande ruche…» (Frank R. Stockto, L’homme aux abeilles).
4 Leçon donnée au Jardin du Luxembourg par Henri Hamet « le père de l’apiculture française » (source : site de la S.C.A.)
Mais Henri Hamet était bien plus qu’un apiculteur éleveur d’abeilles et/ou un savant auteur d’écrits consacrés à cet art. Il était un ancien instituteur et professeur de collège, passionné par la transmission de ses connaissances et pratiques. Comme il l’annonçait en 1856, il voulait « améliorer et étendre la culture des abeilles en vulgarisant les méthodes et les perfectionnements les plus avantageux, en neutralisant, par l’expérience et de saines données, les théories et les pratiques défectueuses ; enfin, en faisant produire à cette branche de l’économie rurale tous les produits qu’elle est susceptible de donner ». C’est ainsi qu’il donna des cours pratiques et théoriques d’apiculture au jardin du Luxembourg.
« J’avais une autre petite famille au bout du jardin : c’était des abeilles. Je ne manquais guère, et souvent maman avec moi, d’aller leur rendre visite ; je m’intéressais beaucoup à leur ouvrage ; je m’amusais infiniment à les voir revenir de la picorée, leurs petites cuisses quelquefois si chargées qu’elles avaient peine à marcher.» (Jean Jacques Rousseau. Les confessions, Livre VI).
5. La destruction du premier rucher expérimental du Jardin du Luxembourg (source : site de la S.C.A.)
Le premier rucher du jardin du Luxembourg fut détruit en 1866 pour permettre le percement de la rue Auguste Comte. Fort heureusement, un nouveau rucher fut édifié, en 1872, à son emplacement actuel (les cours théoriques d’apiculture continuèrent d’être dispensés jusqu’à la fin des années 1870 dans l’Orangerie du Jardin, et les cours pratiques près de Meudon).
« Elle porte en elle le mécanisme de l’univers : chaque abeille résume le secret du monde » (Michel Onfray, La sagesse des abeilles).
6. Le rucher du Jardin du Luxembourg vers la fin du XIXe (source : site de la S.C.A.)
Le second rucher du jardin du Luxembourg ayant pris de l’âge, le Président du Sénat, Alain Poher, et les Questeurs du Sénat décidèrent, en 1990, de le reconstruire au même emplacement. L’architecte chargé des travaux, Jacques Patureau, recourut alors au motif hexagonal, inspiré des constructions propres aux abeilles (v. les photographies sur les deux sites Internet précités). L’inauguration du nouveau rucher eut lieu le 9 avril 1991, en présence du Président Alain Poher.
« La colonie d’abeilles ressemble à une fontaine magique, plus on y puise, plus il en coule » (Karl von Frisch, Vie et mœurs des abeilles).
7. Le pavillon Davioud, ancien buffet de La Pépinière.
Concomitamment à la construction du second rucher du jardin du Luxembourg en 1872, le buffet dit de La Pépinière, à l’origine un café-restaurant, fut attribué à la Société Centrale d’Apiculture (S.C.A.), afin qu’elle puisse continuer à dispenser ses enseignements théoriques d’apiculture aux amateurs. Ce bâtiment est toujours appelé pavillon Davioud du nom de l’architecte qui l’a édifié (Gabriel Davioud 1823-1881).
« Aucun être vivant, même pas l’homme, n’a réalisé au centre de sa sphère ce que l’abeille a réalisé dans la sienne ; et si une intelligence étrangère à la nôtre venait à demander à la terre l’objet le plus parfait de la logique de la vie, il faudrait lui présenter l’humble rayon de miel. » (Maurice Maeterlinck, La vie des abeilles).
8. Le groupe Les joies de la famille de Daillion, et Le pavillon Davioud (photographie c. 1905-1910. Centre des musées nationaux).
Aujourd’hui encore, les enseignements pratiques et théoriques d’apiculture sont dispensés au nouveau rucher et au pavillon Davioud du jardin du Luxembourg, de manière bénévole, par des membres de la Société Centrale d’Apiculture (S.C.A.), de l’École d’Horticulture du Luxembourg, et de l’Association des Auditeurs des Cours du Luxembourg.
J’ai pour joie et pour merveille
De voir, dans ton pré d’Honfleur
Trembler au poids d’une abeille
Un brin de lavande en fleurs
(Victor Hugo, Poème à un ami).
9 Poésie de C. Filleul de Pétigny
10 « Les mots sont comme les abeilles, ils ont le miel et l’aiguillon » (Proverbe suisse).
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1 Vers le musée et l’orangerie du Luxembourg …
Ce panneau nous invite à rejoindre le musée et l’orangerie du jardin du Luxembourg en images, photographies et cartes postales anciennes. Je m’abstiendrai de textes longs et savants. Il suffit de se connecter sur les sites du Sénat et de wikipedia pour découvrir l’histoire de ces édifices et connaître leur situation contemporaine. De plus, je ne présenterai pas d’images de leurs salles et collections respectives. Je ne retiendrai que des vues extérieures des bâtiments tels qu’on les découvre, aujourd’hui encore, du jardin.
2 Plan du jardin du Luxembourg (Roussel et Hachette)
Comme le montre ce plan du XIXème siècle, le musée et l’orangerie (encadrés en jaune) sont situés au nord-ouest du jardin du Luxembourg dans une aile du palais du Luxembourg (le Sénat), en retrait de la rue de Vaugirard. Ils forment un angle droit de 90° : le bâtiment du musée à la verticale, celui de l’orangerie à l’horizontale.
3 Le musée du Luxembourg (gravure du XIXème siècle)
C’est en 1750 qu’un premier musée dédié aux collections royales de peintures alors entreposées à Versailles (aujourd’hui, elles sont au Louvre), fut ouvert au public dans une aile du palais du Sénat (l’ancienne galerie de Marie de Médicis). Il fut fermé en 1780.
Mais, en 1801, le ministre de l’intérieur Chaptal décida de créer un nouveau musée du Luxembourg, à la demande des prêteurs du Sénat (officiers nommés dans le sein du Sénat et chargés de la police du palais sénatorial), et sous l’impulsion d’un sénateur, Joseph Marie Vie, peintre en vue. Ce musée fut inauguré le 26 juin 1803.
4 Entrée du musée du Luxembourg sur la rue de Vaugirard (circa 1900)
Aujourd’hui encore, on accède au musée du Luxembourg par la rue de Vaugirard.
5 Le musée du jardin du Luxembourg (cpa oblitérée le 2 mars 1903)
6 Le musée du jardin du Luxembourg (cpa n.d.)
7 L’orangerie du Luxembourg (circa 1905. Ed. Royer Nancy)
Accolée perpendiculairement au musée, l’orangerie a été édifiée en 1839 sur l’allée Delacroix du jardin du Luxembourg, dans un bâtiment de même style (d’où des confusions des auteurs de cartes postales de l’époque dans leurs mentions !). Elle abrite une collection de plantes en caisse dont des orangers, des palmiers, des lauriers roses et des grenadiers. L’été, elle sert également de salle d’expositions d’art contemporain.
8 La roseraie du jardin du Luxembourg
9 Les statues le long du musée du Luxembourg (entrée rue de Vaugirard)
10 Derrière le musée du Luxembourg (photographie des frères Jules, Louis et Henri Séeberg. 1905-1910. Centre des musées nationaux)
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11 Maman les p'tits bateaux du Jardin du Luxembourg ont-ils des jambes ?
12 Pose devant la fontaine Carpeaux du Jardin du Luxembourg à la Belle Epoque
13 Descente de la terrasse du Jardin du Luxembourg en 1979 (Richard Kalvar, né en 1944)
14 Attention grand-mère à ne pas tomber ! (Eugène Atget 1857-1927)
15 ... à 3, je lâche ! (Willy Ronis 1910-2009)
16 Les plus belles cannes pour descendre l'escalier de la terrasse du Jardin du Luxembourg
17 Dernier conseil aux capitaines de voiliers du Jardin du Luxembourg (Willy Ronis 1910-2009)
18 Bras dessus, bras dessous dans les allées du Jardin du Luxembourg
19 Comme la neige serait triste s'il n'y avait pas d'enfants ! (phot. d'Edouard Boubat 1923-1999)
20 Nos vieux* au coin des échecs du Jardin du Luxembourg*
* Les termes vieux et vieillards sont aujourd'hui interdits sous peine de poursuites pénales et civiles. Ils doivent être remplacés par ceux d'aînés, d'anciens ou de seniors (au delà de 60 ans, jeunes seniors en deçà), ou de personnes du 3ème âge (de 60 à 80 ans), ou de grands seniors ou personnes du 4ème âge (au delà de 80 ans), ou d'un certain âge ou d'un âge avancé ou très avancé selon les cas.
"Un vieillard est un homme qui a dîné et qui regarde les autres manger" (Honoré de Balzac)
21 Ecole navale du Bassin du Jardin du Luxembourg