• Au Jardin du Luxembourg avec Gavarni

     

     

     

     

    Au Jardin du Luxembourg avec Gavarni

    1 L’ÉTUDIANT EN DROIT par M. DE LA BÉDOLLIÈRE. Dessin : M. GAVARNI (source : BnF. Le site Gallica de la Bibliothèque nationale de France reproduit cette affiche publicitaire bleuâtre de mise en vente du numéro 3 intitulé  « L’Étudiant en Droit », et non le contenu même de celui-ci).

     

    L’on ne trouve aucune illustration représentant le Jardin du Luxembourg dans la série de lithographies de Gavarni intitulée « Les étudiants de Paris » (un étudiant en Droit et un étudiant en Médecine galérant au Quartier Latin), et dont la première publication eût lieu en 1839. On ne trouve pas davantage d’illustrations par Gavarni dudit Jardin dans la nouvelle d’Émile de La Bédollière (1812-1883), intitulée « L’Étudiant en Droit », à laquelle il collabora à l’occasion de la publication d’une collection dénommée « Les Français : Mœurs contemporaines », elle-même empruntée à une « Histoire des mœurs et de la vie privée des Français », parue en trois volumes entre 1847 et 1849 et plusieurs fois rééditée, y compris ces toutes dernières années (2012, 2015, 2019).

     

    En revanche, Gavarni nous offre deux dessins évoquant le Jardin du Luxembourg dans une série intitulée « Les enfants terribles », que la Bibliothèque numérique de Lyon a mis en ligne, dans le cadre global d’un ouvrage paru en 1864 sous le titre des « Œuvres choisies de Gavarni », avec un titre alternatif « Les gens de Paris » (plus de 500 dessins de Gavarni).

    https://numelyo.bm-lyon.fr/f_view/BML:BML_00GOO0100137001101430457 

     

    Voici donc ces deux dessins qui évoquent discrètement le Jardin du Luxembourg :

     

     

    Au Jardin du Luxembourg avec Gavarni

    2 - Maman ! maman ! ce Monsieur du Luxembourg, que tu as dit (tu sais bien) que c’était un grand ami de papa !… il n’a pas salué !… Ah ! par exemple, en voilà un malhonnête !

     

     

     

    Au Jardin du Luxembourg avec Gavarni

                           3 - Petit amour, comment s’appelle madame votre maman ?

                        - Maman n’est pas une dame, monsieur : c’est une demoiselle.