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    Une allée du jardin du Luxembourg (toile attribuée à Edgar Degas)

                              1 Une allée du jardin du Luxembourg (toile attribuée à Edgar Degas)

     

         Chers (es) visiteurs (ses) de ce blog qui occupe mes matinées de retraité sur la Côte d’Opale, pour aujourd’hui, voici mes deux dernières découvertes, dans le fantastique bric-à-brac d’Internet, en relation avec le Droit…de l’Art, le Quartier Latin et son jardin du Luxembourg (Luco, dans le jargon estudiantin).

     

       D’une part, cette toile « attribuée* » à Edgar Degas, à propos de laquelle le site www.artnet.fr. mentionne : « Paysage : Allée d’arbres aux promeneurs, sans doute le jardin du Luxembourg. » 

     

       *Selon l’article 4 du décret n° 81-255 du 3 mars 1981 sur la répression des fraudes en matière de transactions et d’œuvres d’art et d’objets de collection : « L’emploi du terme attribué à suivi du nom d’un artiste garantit que l’œuvre ou l’objet a été exécuté pendant la période de production de l’artiste mentionné et que des présomptions sérieuses désignent celui-ci comme l’auteur vraisemblable ».

     

          Et les tribunaux de préciser que s’il existe un doute sur la qualité convenue, ce doute peut être inclus dans le champ contractuel. Dans ce cas, les parties acceptent l’existence d’un aléa et l’acheteur ne peut plus demander l’annulation de la vente s’il s’avère que la peinture n’est pas une œuvre authentique du maître (Cass. civ. 1ère, 20 octobre 2011, n° 10-25980, Pinault c/ Derouineau).

     

     

     

    Maurice Bellet : « Les Allées du Luxembourg » (Éditions Desclée de Brouwer. 1996)

                   2. Maurice Bellet : « Les allées du Luxembourg » (Éditions Desclée de Brouwer. 1996).

     

       D’autre part, un livre de Maurice Bellet : « Les allées du Luxembourg ». Maurice Bellet était un prêtre, théologien, philosophe, psychanalyste et écrivain, auteur de plus d’une cinquantaine de livres. Né en 1923 à Bois-Colombes, il est décédé en 2018 à Paris,

     

      Voici tout d’abord le résumé de ce livre, emprunté à sa quatrième de couverture : « Fouler quotidiennement, à l'heure du déjeuner, les allées sableuses du jardin du Luxembourg est, somme toute, une satisfaction bien ordinaire dans la vie de retraité de Monsieur Périer. Sauf lorsqu'un jour la traversée devient bien davantage qu'une promenade : une expédition dangereuse et mystérieuse sur les sentiers de la lucidité, parmi des humains au visage inattendu ».

     

     

     

    Jeune femme tressant une couronne de fleurs dans une allée du jardin du Luxembourg. Jean-Baptiste Corot. 1870

    3 Jeune femme tressant une couronne de fleurs dans une allée du jardin du Luxembourg. Jean-Baptiste Corot. 1870 (Au loin, la tour carrée de l’Observatoire astronomique de Paris construit en 1667. La coupole a été édifiée sur l’autre tour en 1846).  

     

    Voici maintenant un premier extrait du livre :  

      « … Or, ce jour que je dis, où Monsieur Périer sort de chez lui comme d’habitude, rien n’annonce quoi que ce soit de particulier. Le temps est clair ; il fait soleil ; le vent est un peu frais. Monsieur Périer entame la traversée. La chose arrive au moment où, sortant de l’ombre des arbres, il débouche en haut du large escalier qui descend vers la pièce d’eau. Les ânes sont là, qui attendent les enfants ; le vieux bonhomme qui les mène attend aussi, et Monsieur Périer regarde les ânes – animaux chers à son cœur, Dieu sait pourquoi. Puis il regarde devant lui le large espace découvert. 

    Et il voit. 

    Vision extraordinaire, prodigieuse, inouïe. 

         Que voit-il ? Des monstres, des chimères, des dieux descendants du ciel ? Ou quelque sylphide confondante de beauté, dont la nudité le transit de désir ? Ou bien quoi ? Le kaléidoscope vertigineux, genre Odyssée de l’espace, le futur, l’arrière-monde, le secret des origines ? Non, rien de tel. Monsieur Périer voit ce que tout le monde voit : la pièce d’eau toute ronde, le jet d’eau, les gens sur les chaises, un bambin qui court après un pigeon qui s’envole, la façade du Luxembourg, *les lointains de l’ObservatoireEt il voit le ciel ouvert. 

    C’est quelque chose de si inattendu, de si peu préparé, de si étranger à tout ce qui peut se mouvoir dans sa tête, que Monsieur Périer ne sait pas qu’il a une vision. Il ressent seulement une sensation étonnante de chaleur, de douceur, de bienveillance universelle ; la lumière paraît plus douce et plus forte, les visages plus dignes d’amour, l’âne plus fraternel. Tout a basculé, invisiblement et sans secousse, dans l’absolument inentamable : une splendeur de l’être, une douceur de la création, une saveur de la vie, une générosité du temps, qui ne passe plus – soudain Monsieur Périer est dans l’éternité, l’éternité ici et maintenant, le suspens bienheureux de toutes choses dans l’instant pur de l’origine. 

    Monsieur Périer s’est arrêté en haut des marches, le souffle coupé. Il sait, en cet instant, que le monde s’est ouvert devant lui, comme une écorce amère qui libère un beau fruit. Mais il sait sans savoir et l’oublie aussitôt : où pourrait-il ranger ce savoir-là ? C’est un savoir qui ne se pose nulle part, c’est un souffle, c’est une absence, c’est un parfum subtil comme d’un vase précieux soudain brisé et qui se répandrait, gaspillage à tout homme sensé, dans la pièce où le vin endormait les convives. 

    C’est fini. La vision a passé. Monsieur Périer a seulement le sentiment confus qu’il a laissé s’échapper quelque chose et qu’une tristesse sans cause le rattrape au pied de l’escalier. Il s’en va vers sa brasserie et pense à son déjeuner. 

    Mais la faille s’est faite, la ligne est marquée – indélébile. Désormais, l’insaisissable vision demeure et veille dans l’ombre tandis que Monsieur Périer, marchant, mangeant, causant, vivant la vie normale, continue à dormir debout, comme presque tous les humains. »

     

     

    Une allée du jardin du Luxembourg. Toile de l’année 1915 de Richard Bloos (peintre allemand. 1898-1956).

    4 Une allée du jardin du Luxembourg. Toile de l’année 1915 de Richard Bloos (peintre allemand. 1898-1956).

     

    Et voici un extrait de la fin du livre :  

     « … Et il voit. Ce n’est pas la vision obscure d’autrefois, c’est une vision éclatante. Et il voit qu’il voit. Non qu’il réfléchisse, qu’il s’examine au miroir. Pas du tout. Aucune distance. Il est dedans, il est dans ce regard qu’il donne à toutes choses, et son regard est doucement pris et aimé par cet éveil des choses, où Jean Périer s’illumine tout entier – car la lampe du corps, c’est l’œil.

    Il voit ce qu’il a toujours vu, bien sûr : la pièce d’eau, le jet d’eau, la façade un peu sévère du Palais du Sénat, et là-bas, la trouée de l’Observatoire, et les massifs de fleurs, et les pelouses, et les pigeons, les merles et les moineaux, et les gens, les gens sur les chaises, les gens marchant, les enfants courant, les mères attentives et, tout près de lui, les ânes revenant. 

    Et pourtant ce qu’il voit, c’est l’envers lumineux du monde. A moins que ce soit l’endroit, et que notre regard ordinaire ne voie que l’envers de la tapisserie, confus et laid. De l’autre côté, de l’autre côté est la merveille. (…) 

    Les gens. Les humains. Il voit. C’est quelque chose qui lui a été mystérieusement donné en ces mois, en ces années où il cheminait sans savoir, en ces années où l’âge montant commence à délier les liens de la vie ; c’est quelque chose qu’il ne pourrait dire que de biais, s’il était poète, par exemple, ou dans la rumination philosophique ; à moins qu’il ne le dise tout droit, dans cette suprême naïveté qui peut venir au plus vif du chemin extrême. De toute façon, il ne sait. C’est d’ailleurs, de nulle part, que vient cette étrange douceur dont il connaît qu’elle est plus violente que la haine. Il est là. Il se tient là, sur ses pieds – ô station debout improbable ! – et il est tout remué en dedans par ce qui remue les humains, tripes, cœur et cerveau. Mais ça ne fait rien. Rien ne fait rien. Il existe comme Adam et vierge des douleurs infâmes où nous nous plongeons quand manque ce premier moment. (…) 

    Monsieur Périer voit tous ces pauvres humains dans la lumière du premier jour – à moins que ce ne soit le dernier. Il pressent que s’il pouvait, à chacun d’eux, donner à entendre ce qu’il voit, et si chacun d’eux consentait à l’entendre, ce serait un changement prodigieux. Rien de magique, oh ! non ! Monsieur Périer sait d’expérience que le changement, le très grand changement, est imperceptible, infime, un quasi-rien, une décision qui ne se sait pas elle-même, le don fait en passant de je ne sais quoi par je ne sais qui. Mais c’est ainsi que la vie, la très improbable vie, a dû commencer sur la terre, dans l’immensité désertique de l’univers. 

    Même cette grosse vieille femme, qui s’ébroue de son sommeil pâteux, l’air geignard, avec ses jambes lourdes et ses cheveux dépeignés, même elle, avec son visage sculpté dans la douleur et les longs détours de la vie, elle pourrait, elle peut devenir elle aussi cette splendeur : un être humain, éveillé dans la ténèbre des mondes muets, une parole hardiment jetée par-dessus le grand vide, un regard pour un regard, un visage pour un visage, elle serait, dans l’épreuve du désert où Jean Périer pliait d’angoisse, elle serait la bienheureuse et la bien-aimée, la divine apparition qui met fin à la crucifixion du Seul.(…) » 


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    Pousser la poussette au Jardin du Luxembourg

    1 En poussette devant le grand bassin du jardin du Luxembourg (circa 1880). Premiers âges : la poussette, la calèche à chèvres (à droite), le cerceau (à gauche);… Dernier âge : la canne (au centre).

     

             Bla, bla, bla… J’ai déjà consacré un post, le 24 juillet 2018, dans la rubrique Au Quartier Latin de ce blog,  aux nounous, nurses et bonnes d’enfants du Jardin du Luxembourg. Plusieurs images et cartes postales anciennes (ICPA), mettaient en évidence les poussettes dans lesquelles de futurs étudiants et Professeurs en Droit du Panthéon voisin, exprimaient déjà, entre leurs 12 et 16 premiers mois, diverses réflexions : areuh, areuh, lala, baba, papa, dada, vrrrroum, vrrrroum, maman, bron, bron, y compris juridiques : loa, loa, cocode.

    http://droiticpa.eklablog.com/jardin-du-luxembourg-nounous-nurses-et-bonnes-d-enfants-a132407824

     

     

     

     

    Pousser la poussette au Jardin du Luxembourg

    2  Poussette en osier (elle pouvait être en bois) dans la grande allée du Jardin du Luxembourg (1900).

     

            Depuis lors, j’ai trouvé d’autres photographies anciennes de  poussettes poussées ou au repos dans les allées du Jardin du Luxembourg, que je joins aujourd’hui dans cette nouvelle page. Elles me permettent de compenser la censure dont la poussette, tout comme le biberon, le bavoir et la barboteuse, fait l’objet dans les médias, les discours de nos hommes politiques, et, plus encore, dans les écrits de nos plus éminents juristes, qui ont bien trop peur de se décrédibiliser en l’évoquant.

     

     

     

     

    Pousser la poussette au Jardin du Luxembourg

                          3 La nounou, pousseuse de poussette au jardin du Luxembourg (1910).

     

        Un silence lourd de sens !  Pis, alors même que la table alphabétique du Code civil 2022 édité par Dalloz comporte de nombreux renvois au mot automobile, elle ignore  le mot poussette qui est pourtant d’usage dans le cyclisme et au ping-pong !

     

     

     

     

    Pousser la poussette au Jardin du Luxembourg

    4 La poussette du petit jacques, âgé de six mois, poussée par sa grande sœur, sur la terrasse du Jardin du Luxembourg (17 avril 1927).

     

       « Le mariage est la cause principale du divorce » (Oscar Wilde). Sauf erreur, volontaire ou involontaire, de ma part, aucune thèse (ni d’ailleurs aucun article), n’a, à ce jour, été consacrée aux problèmes juridiques posés par les poussettes, alors même que 82 463 thèses de doctorat d’État ou de troisième cycle, du genre copier/coller, portent sur la cause en droit des obligations et des contrats, et 2, actuellement en cours, sur les accidents de chariots à roulettes de supermarchés en période de non confinement, plus connus sous le nom de Caddie (en russe : корзина ; en japonais : ショッピングカート; en arabe : عربة التسوق). 

     

     

     

     

    Pousser la poussette au Jardin du Luxembourg

                                     5 Course de poussettes au Jardin du Luxembourg (c. 1900)

         

      « Un dictionnaire sans citation est un squelette » (Voltaire). Ce mot poussette est d’ailleurs l’un des parents les plus pauvres de nos savants spécialistes de la langue française. Par exemple, dans sa neuvième édition périmée en cours, entreprise en 1986 (et toujours pas finie !!!), accessible gratuitement en ligne, les éminents auteurs en âge avancé du Dictionnaire de l’Académie française se fendent d’une courte définition de la poussette, sans relief, ni la moindre citation d’Euripide, d’Eschyle et de Sophocle. 

     

     

     

     

    Pousser la poussette au Jardin du Luxembourg

                            6. « Mon nounours, il est fatigué » (Jardin du Luxembourg. Circa 1950).

     

          Ganachards et ganachons. Voici comment nos immortels encore en vie ont défini la poussette de leurs arrières petits enfants : « Petite voiture à roues, généralement pliable, dans laquelle on transporte un jeune enfant, et que l’on pousse devant soi ». C’est consternant : les meilleurs prix ne sont pas mentionnés ; le terme tout-petit aurait été plus juste ; aucune référence à la poussette canne, au châssis, ni au nombre de roues !.

     

     

     

     

    Pousser la poussette au Jardin du Luxembourg

    7 Poussette en repos devant le Palais du Luxembourg (l’actuel Sénat pour retraités de la vie politique) à la Belle Époque (image extraite d’une stéréocopie).

     

            Rendons à Kent, ce qui est à Kent. Au moins ont-ils mis un terme à la censure totale dont les poussettes de bébés, de poupons et de poupées faisaient l’objet dans les éditions précédentes du dictionnaire de l’Académie française, ainsi que dans le célèbre dictionnaire d’Émile Littré paru de 1873 à 1877, alors même qu’elles avaient été inventées par l’architecte William Kent, dès 1733, à la demande de William Cavendish, Duc de Devonshire, pour transporter ses jeunes enfants dont son successeur, également nommé William Cavendish.

     

     

     

     

    Jour de poussettes au Jardin du Luxembourg dans les premières années du baby-boom (c. 1950).

    8 Jour de poussettes au Jardin du Luxembourg dans les premières années du baby-boom (c. 1950).

     

        « Le génie français est perdu ; il veut devenir anglais, hollandais et allemand » (Voltaire). Pourtant, la poussette de bébé n’est pas insensible au génie. D’abord parce que le génie sommeil toujours dans un bébé qui dort. Ensuite, parce que, comme l’écrivait le New York Times, en 1904, dans sa nécrologie du grand scientifique Albert Einstein : « On pouvait le voir avec une poussette dans les rues de Berne, en Suisse, s'arrêtant çà et là, indifférent à la foule qui l'entourait, griffonnant quelques symboles mathématiques dans un carnet qui partageait le landau de son fils, également nommé Albert ». 

     

     

     

     

    Poussette dans l’allée Férou du Jardin du Luxembourg (photographie de 1907 des frères Jules, Louis et Henri Séeberger. Source : Centre des musées nationaux. Musée Carnavalet. Histoire de Paris).

    9. Jeunes pousseuses de poussettes dans l’allée Férou du Jardin du Luxembourg (photographie de 1907 des frères Jules, Louis et Henri Séeberger. Source : Centre des musées nationaux. Musée Carnavalet. Histoire de Paris).

     

      « Un peu, beaucoup, passionnément. Une femme veut toujours son enfant. Mais elle en a peur quand l'amour rassurant n'est pas là. Cet amour qui pousse les poussettes, qui cueille des noisettes et s'inquiète à la première rougeole » (Malek Hadda. L’Élève et la leçon. 1960). 

     

     

     

    Pousser la poussette au Jardin du Luxembourg

    10. Poussette, nounous et cerceau au Jardin du Luxembourg (estampe d’Eugène Béjot. 1902. Musée Carnavalet. Centre des musées nationaux). 

     

    Le papa kangourou
    N’est pas un loup-garou,
    C’est un sauteur,
    C’est un boxeur,
    Et c’est un troubadour
    Qui joue bien du tambour.

    La maman kangourou
    En faisant la nounou
    Porte ses mioches
    Dedans sa poche.
    Pas besoin de poussette,
    C’est beaucoup plus pratique,

    Pas besoin de sucette,
    C’est très économique…

    Les parents kangourous ont des enfants tout roux
    Et des neveux, et des aïeux
    Qui leur disent bonjour en jouant du tambour.
     

    Le kangourou. Poésie de Paul Savatier (1931-2018)


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    La marchande de glaces devant le jardin du Luxembourg (1953)

           

     

           Le 2 novembre 2017, j’ai publié la photographie d’un marchand de glaces devant le jardin du Luxembourg dans les années 1900 :

    http://droiticpa.eklablog.com/le-marchand-de-glaces-devant-le-jardin-du-luxembourg-a132448876

     

      Aussi, pour garantir l’égalité entre les hommes et les femmes, voici aujourd’hui la photographie d’une marchande de glace devant les mêmes grilles du jardin du Luxembourg en 1953, complétée de cette citation de Louis Auguste Commerson (1802-1879), un écrivain humoriste, spécialiste du calembour et du canard journalistique :

                        « Quand je mange des glaces, cela me fait réfléchir ».


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    Le Jardin du Luxembourg par les frères Séeberger (1905-1910)

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    Les frères Séeberger. Voici quelques photographies du Jardin du Luxembourg à la Belle Époque prises par la première génération des frères Séeberger : Jules (1872-1932), Louis (1874-1946) et Henri (1876-1956). Elles datent des années 1905-1910 et proviennent du Centre des musées nationaux (© CMN).

     

    Dans diverses pages antérieures consacrées au jardin du Luxembourg (rubrique Au Quartier Latin), notamment le tennis et les élégantes de ce jardin, j’ai déjà intégré des photographies de cette première génération des frères Séeberger. 

     

    Pour en savoir plus sur les deux générations des frères Séeberger : 

     

    Les frères Séeberger (wikipedia)

     

     

    Autres maîtres de la photographie en 1900.  Je rappelle que j’ai déjà consacré plusieurs pages à d’autres très grands photographes de la Belle Époque qui, eux aussi, avaient déposé leurs appareils dans les allées du jardin du Luxembourg : Eugène Atget (1857-1927), Charles Marville (1813-1879), et Henri- Roger-Viollet (1869-1946).

     

    Dans les tout prochains jours, j’y ajouterai un photographe moins ancien du jardin du Luxembourg : André Kertéz (1894-1985), et deux éditeurs de cartes postales : Louis Patras et Mona « Editions d’Art ».

     

     

     

     

    Le Jardin du Luxembourg par les frères Séeberger (1905-1910)

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    Le Jardin du Luxembourg par les frères Séeberger (1905-1910)

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    Le Jardin du Luxembourg par les frères Séeberger (1905-1910)

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    Le Jardin du Luxembourg par les frères Séeberger (1905-1910)

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    Le Jardin du Luxembourg par les frères Séeberger (1905-1910)

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    Le Jardin du Luxembourg par les frères Séeberger (1905-1910)

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    Le Jardin du Luxembourg par Louis Patras

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         Louis Patras était un éditeur d’art de cartes postales, photographe et imprimeur, installé, entre les deux guerres, à Paris, 21 rue du Cherche-Midi.

        En général, ses clichés étaient pris avec des objectifs « S.O.M. Berthiot » (Société d’Optique et de Mécanique de Haute Précision, établie à Paris en 1908).

     

     

     

     

     

    Le Jardin du Luxembourg par Louis Patras

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    Le Jardin du Luxembourg par Louis Patras

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    Le Jardin du Luxembourg par Louis Patras

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